FORINFRA met à votre disposition le savoir-faire et l’expérience d’un personnel hautement qualifié et s’adapte à vos besoins en vous offrant un service de qualité non seulement lors de l’étude du projet, mais aussi à travers les méthodes de travail utilisées, des techniques proposées durant toute la période du chantier et lors de la livraison finale de l’ouvrage réalisé.
Notre entreprise est spécialisée dans la réalisation de travaux de micropieux tant pour les projets de construction sur sols instables, de faible portance que pour réparer des bâtiments sinistrés (fissure murs porteurs, extensions, affaissements de dallage, etc.) par le renforcement des fondations.

Nos micropieux sont des pieux forés de diamètre compris entre 150 et 250 mm, de taille standard (15, 20, 25 cm) qui se compose d’un tube ou d’une barre d’armature au centre fixé dans un coulis de ciment relié aux fondations superficielles du bâtiment par des platines de répartition des charges, ils servent d’ancrage profond à votre ouvrage.

La technique de micropieux est utilisée surtout lors de travaux de reprise en sous-œuvre grâce à un équipement qui peut travailler sous une hauteur inférieure à 2 mètres. Aujourd’hui, la méthode de réalisation a bien évolué et il n’est pas rare de les utiliser aussi pour des ouvrages neufs, principalement grâce à leur rapidité d’exécution ainsi que leur coût très compétitif.

Le diamètre et la taille du micropieu sont sélectionnés en fonction de la nature du sol ainsi que les charges à répartir. Le travail va consister à consolider les fondations et augmenter leur résistance et à les consolider par un effet de frottement latéral. Une étude géotechnique du sol nous permettra de calculer exactement les descentes. Le nombre de micropieux à utiliser sera ainsi défini. L’usage de micropieux est valable pour tout type de sol, argileux, sablonneux ou même rocheux et à une profondeur pouvant atteindre jusqu’à 30 mètres. Aucune difficulté pour le matériel utilisé, car nos machines de forage sont capables d’accéder aux espaces les plus difficilement accessibles.
En fonction du type d’armature utilisée dans les micropieux , les normes d’usage en vigueur, strictement appliquées par nos équipes, prévoient une distinction entre trois types de micropieux:
● Le micropieu à tube ; fait en acier de diamètre de qualité et de calibrage variables selon le volume des charges à répartir, dans ce cas l’utilisation ou non du tube d’acier dans la constitution du système d’injection sous pression , dépendra de la valeur des charges à reprendre.
● Le micropieu à barres ; où l’armature est formée par une ou de multiples barres en acier fixées ensemble. Les barres peuvent être soit en acier de précontrainte (barres DYWIDAG) ou en acier H.A spécialement conçues pour le béton armé. Le tube d’injection sous pression, lui fait entièrement partie du faisceau de barres.
● Le micropieu à double armature ; ce type de micropieu est constitué d’une armature mixte composée le plus souvent soit par une barre centrale et d’un tube extérieur à manchettes, soit par un tube extérieur fixé à un autre tube intérieur.

Les micropieux utilisés par FORINFRA répondent à des normes strictes selon la réglementation DTU 13.2 et le fascicule 62 titre, qui en définissent 4 grandes catégories utilisées en France :

Le micropieu de type I n’est plus guère utilisé.
● Le micropieu type II : un pieu foré tubé et scellé au coulis de ciment par gravité au moyen d’un tube plongeur.
● Le micropieu type III : possède en plus, un tube à manchettes ou pastilles (Injection Global et Unitaire), dispositif d’injection du coulis de ciment par une pression égale ou supérieure à 1 Mpa.
● Le micropieu type IV : dans ce type de micropieu le coulis de ciment est injecté avec un obturateur simple ou double, à chaque niveau de manchettes, à une pression supérieure à la pression limite du sol. L’injection appliquée dans ce cas est une Injection Répétitive et Sélective ( IRS).

Les méthodes d’injection diffèrent selon le type de micropieu :

Le micropieu de type II est foré simple au coulis, de diamètre inférieur à 250 mm. Le forage est souvent doté d’une armature et rempli d’un coulis ou d’un mortier de scellement sous une très faible pression au moyen d’un tube plongeur ou par gravité.
Pour les sols argileux ou sablonneux, le micropieu de type II doit être calculé au flambement. Lorsque les caractéristiques du sol le permettent, le forage peut être substitué par le lançage, le battage ou le fonçage. Un micropieu de ce type peut permettre la transmission d’efforts importants et supporter des charges aussi grandes. Son armature est constituée parfois d’un tube à paroi massive, des barres d’acier raccordées d’une extrémité à une autre. Ou, parfois, de faisceau de barres fabriquées en acier mis à l’intérieur d’un tube en acier de limite élastique de la même taille. Pouvant supporter jusqu’à 500 Mpa pour les tubes de 1 100 Mpa.

L’installation d’un micropieu de type II se fait en trois phases. Dans une première phase, nous allons effectuer un forage au tricône ou à la tarière et procéder à l’injection de fluide de manière progressive pour tenir les terres. Puis dans une deuxième phase, nous allons insérer de l’armature tubulaire pour enfin terminer dans une troisième phase par l’injection du coulis de ciment au tube plongeur.
Nos équipes travaillent conformément à la norme française NF DTU 13.2, ainsi, nous procédons systématiquement à la vérification du flambement ainsi que du raccourcissement élastique.

Parce que les charges sont reprises uniquement par les armatures, on exige que les micropieux de type II soient systématiquement armés. Les armatures sont mises en place par jonction d’éléments et leur longueur est déterminée principalement par la hauteur calculée. Parfois, la nature de l’ouvrage et les conditions de travail peuvent permettre d’utiliser des armatures continues, notamment une hauteur suffisamment importante.
Généralement dans ce type de micropieu à barres l’armature est formée par une ou de multiples barres en acier fixées ensemble. Les barres peuvent être soit en acier de précontrainte (barres DYWIDAG) ou en acier H.A spécialement conçues pour le béton armé. Le tube d’injection sous pression, lui fait entièrement partie du faisceau de barres.
Pour le raboutage des barres en acier, la réglementation en vigueur impose le manchonnage et la soudure. En cas d’utilisation de barres de type DYWIDAG ou GEWY, les manchons peuvent être sertis, mais il est fortement recommandé que le sertissage du manchon et alésage soit réalisé en usine pour assurer leur robustesse et leur fiabilité. On peut procéder au décalage des jonctions au cas où l’équipement est composé de plusieurs barres.

Le micropieu type III est un pieu foré de diamètre généralement inférieur à 250 mm. Le forage est doté d’armatures et d’un dispositif d’injection sous forme de tube à manchettes installé dans un coulis de gaine. Si l’armature est faite de tubes métalliques, ce dernier peut être armé de manchettes et jouer de rôle de système d’injection.

Lors des travaux, l’injection est faite en tête à une force de pression supérieure ou égale à la pression limite des sols. Elle est communément appelée IGU (Injection Globale et Unitaire). Dans les sols fragiles, un calcule au flambement doit être réalisé pour ce type de pieu.
Lorsque les caractéristiques du sol le permettent, le forage peut être substitué par le fonçage le lançage ou le battage. Un micropieu de type III peut permettre la répartition de charges importantes. Son armature est formée soit d’un tube à paroi massive, soit de barres en acier raccordées d’une extrémité à l’autre. Parfois, l’armature des micropieux est constituée de faisceau de barres fabriquées en acier et placées dans un tube en acier de limite élastique comparable.

Selon la norme française NF DTU 13.2, la limite élastique des aciers utilisés peut atteindre jusqu’à 500 MPa pour les tubes de 1 100 MPa. Il est donc important pour nos équipes de vérifier le flambement ainsi que le raccourcissement élastique avant et durant les travaux.
Avant d’effectuer les travaux d’installation de micropieu de type III, nos équipes effectuent d’abord les études techniques nécessaires sur le sol, afin de déterminer la profondeur qui permet une parfaite portance pour la reprise des charges ajoutées à la structure initiale. Cette étude nous fournit également les mesures exactes pour adapter les diamètres des micropieux et leur diamètre.

L’installation d’un micropieu de type III se fait en deux phases. Dans une première phase, nous allons effectuer un forage au tricône ou à la tarière et procéder à l’injection de fluide de manière progressive pour tenir les terres et à la fin du forage, on insère un tube en acier qui servira d’armatures. Lors de la deuxième phase, on procède à l’injection du coulis de ciment à une pression supérieure ou égale à la pression limite des sols et on continue d’injecter le coulis jusqu’à claquage du sol. On va continuer ainsi sur toute la hauteur de la couche d’ancrage.

Le micropieu type IV est un pieu foré de diamètre généralement inférieur à 250 mm. Le forage est doté d’armatures et d’un dispositif d’injection sous forme de tube à manchettes installé dans un coulis de gaine. Si l’armature est faite de tubes métalliques, ce dernier peut être armé de manchettes et jouer de rôle de système d’injection IRS.
Lors des travaux, l’injection est faite en tête à une force de pression supérieure ou égale à la pression limite des sols. Elle est communément appelée IRS (Injection Répétitive et Sélective). Dans les sols fragiles, un calcule au flambement doit être réalisé pour ce type de pieu.

Comme pour les micropieux de type III, lorsque les caractéristiques du sol le permettent, le forage peut être substitué par le fonçage le lançage ou le battage. Un micropieu de type IV peut permettre la répartition de charges importantes. Son armature est formée soit d’un tube à paroi massive, soit de barres en acier raccordées d’une extrémité à l’autre. Parfois l’armature des micropieux est constituée de faisceau de barres fabriquées en acier et placées dans un tube en acier de limite élastique comparable.
Selon la norme française NF DTU 13.2, la limite élastique des aciers utilisés peut atteindre jusqu’à 500 MPa pour les tubes de 1 100 MPa. Il est donc important pour nos équipes de vérifier le flambement ainsi que le raccourcissement élastique avant et durant les travaux.

Avant d’effectuer les travaux d’installation de micropieu de type IV, nos équipes effectuent d’abord les études techniques nécessaires sur le sol afin de déterminer la profondeur qui permet une parfaite portance pour la reprise des charges qui seront ajoutées à la structure initiale. Cette étude nous fournit également les mesures exactes pour adapter les diamètres des micropieux et leur diamètre.

L’installation d’un micropieu de type IV se fait en quatre phases. Dans une première phase, nous allons effectuer un forage au tricône ou à la tarière et procéder à l’injection de fluide de manière progressive pour tenir les terres. A la fin du forage, on insère un tube en acier qui servira d’armatures. Équipée de manchette, l’armature peut être utilisée aussi comme système d’injection. Lors de la deuxième phase, on procède à l’injection du coulis de ciment à une pression supérieure ou égale à la pression limite des sols et on continue d’injecter le coulis jusqu’à craquage du sol. La troisième phase consiste à injecter le coulis de ciment par passe (Injection sélective). Pendant la quatrième phase, on va poursuivre cette opération d’injection plusieurs fois par zone et par jours (Injection par passe).

En fonction du diamètre du micropieu, de son type ou de sa profondeur, sa capacité portante varie. Une étude géotechnique (étude de sol G2 AVP ou étude de sol G5) est nécessaire afin de procéder au dimensionnement de ce type d’ouvrage.